L’inflation est la clé du scénario économique pour les trimestres à venir. Si elle reste contenue, les économies auront retrouvé sans encombre leur trajectoire de croissance prépandémie. Si l’inflation s’installe, la situation inédite d’hyperliquidité créée par les politiques monétaires non conventionnelles des grandes banques centrales peut se transformer en cauchemar.
Les mécanismes de l’inflation
L’inflation désigne la hausse du coût de la vie. Une telle hausse se met généralement en place lorsqu’il y a un déséquilibre entre l’offre et la demande de biens et de services. Ce déséquilibre apparaît soit lorsque l’offre est insuffisante soit lorsque la demande est trop forte. Une hausse des taxes ou une baisse de la devise venant renchérir le coût des importations sont également source d’inflation.
L’inflation est en règle générale transitoire : en l’absence de hausse des salaires, le pouvoir d’achat diminue lorsque les prix augmentent et la demande s’ajuste en conséquence. Il en va autrement dans les pays émergents lorsque l’inflation porte sur des biens de première nécessité ou lorsque la devise locale baisse sur une longue période. Dans ce cas la demande persiste et l’inflation ne se normalise pas.
De multiples formes d’inflation
On parle peu de déflation, de désinflation, d’hyperinflation ou de reflation en ce moment. Le mois dernier, de nombreux articles évoquaient le risque de stagflation, la coexistence délétère d’une inflation élevée et d’une économie atone. Nous avions l’impression que les journaux économiques jouaient à nous faire peur pour participer à la fête d’Halloween car les prévisions de croissance sont à ce stade assez unanimement positives et au-delà de 1% pour l’ensemble des pays, ce qui est incompatible avec le scénario de stagflation.
Ce mois-ci, nous fêtons l’arrivée d’un nouveau-né dans la famille des troubles inflationnistes : la whackflation. La whackflation est l’alternance de fortes poussées inflationnistes et de reflux non moins brutaux. Les économistes à l’origine de cette théorie (et du néologisme) ont étudié le comportement du minerai de fer dont la valeur a progressé de 119% entre mars 2020 et juin 2021 avant de baisser de 62% entre juillet et novembre. D’autres matières premières comme le charbon ont connu des variations tout aussi extrêmes ces derniers mois. La probabilité que ce phénomène s’étende à l’ensemble de l’économie et donc aux chiffres d’inflation nous semble limitée mais il est intéressant de noter la puissance des forces de rappel lorsque les goulots d’étranglement disparaissent.
Evolution des pressions structurelles
L’inflation mesure un différentiel de prix. Pour qu’elle s’installe durablement, il faudrait donc que les prix entrent dans une spirale ascendante. Cela s’est produit dans les années 1970 du fait des tensions sur le marché de l’emploi : les salaires étaient régulièrement revalorisés pour conserver les salariés et maintenir leur pouvoir d’achat, entretenant une hausse des coûts qui était répercutée sur les prix de vente, nécessitant de nouvelles revalorisations salariales…
Aujourd’hui, l’offre de travail est très différente et pléthorique au niveau mondial. Hormis dans des localisations et dans des métiers spécifiques, l’offre peut donc s’ajuster à la demande moyennant un temps d’adaptation. L’automatisation, la digitalisation et la globalisation des économies sont par ailleurs de fortes forces déflationnistes toujours à l’œuvre.
Deux autres facteurs pourraient cependant alimenter l’inflation dans les années à venir :
- avec l’arrivée à l’âge de la retraite des générations du baby-boom, l’équilibre entre production et consommation va évoluer défavorablement, particulièrement en Chine.
- le coût élevé de la « décarbonisation » de nos économies sera reporté sur le prix des biens intermédiaires et des biens industriels tandis que le manque d’investissements dans les énergies fossiles continuera de provoquer des goulots d’étranglement et des hausses des prix de l’énergie qui seront répercutés sur les chaînes de production et de distribution. Cela pourra notamment inciter à relocaliser certaines productions quitte à en augmenter le prix.
Si ces éléments sont de nature à causer un changement de régime de l’inflation qui devrait s’installer dans une moyenne de l’ordre de 2% par an et non plus 1% comme nous l’avons connu au cours des dernières décennies, nous pensons toujours que la poussée inflationniste actuelle est liée au redémarrage des économies et qu’elle refluera à compter du deuxième trimestre 2022 lorsque la plupart des pays passeront d’une phase de rattrapage à une phase plus classique d’expansion.

Le projet de loi de finances pour 2022 a été présenté le mercredi 22 septembre. Comme attendu, son parcours entre la Chambre basse et la chambre haute est quelque peu chaotique. L’ensemble du projet de loi a initialement été adopté par les députés le mardi 16 novembre (348 voix pour et 205 voix contre).
Puis le 23 novembre et sans surprise, le Sénat a rejeté, en première lecture, la première partie du projet de loi. Ce rejet entraîne celui de l’ensemble du texte qui sera donc soumis à une commission mixte paritaire. Il est probable que son issue soit un nouveau désaccord. Les députés auront alors à se prononcer en nouvelle lecture, à partir du 10 décembre en principe, sur le texte qu’ils ont adopté en première lecture.

Si ce texte ne va pas bouleverser la fiscalité des personnes physiques ou des sociétés, nous avons relevé quelques mesures intéressantes.
Art. 2
MONTANT DES REVENUS | TAUX DE L'IMPÔT |
Jusqu’à 10 225 € | 0 % |
De 10 225 € à 26 070 € | 11 % |
De 26 070 € à 74 545 € | 30 % |
De 74 545 € à 158 122 € | 41 % |
Supérieure à 160 336 € | 45 % |
MONTANT DES REVENUS | Jusqu’à 10 225 € |
---|---|
TAUX DE L'IMPÔT | 0 % |
MONTANT DES REVENUS | De 10 225 € à 26 070 € |
TAUX DE L'IMPÔT | 11 % |
MONTANT DES REVENUS | De 26 070 € à 74 545 € |
TAUX DE L'IMPÔT | 30 % |
MONTANT DES REVENUS | De 74 545 € à 158 122 € |
TAUX DE L'IMPÔT | 41 % |
MONTANT DES REVENUS | Supérieure à 160 336 € |
TAUX DE L'IMPÔT | 45 % |
Barème 2022 de l’impôt sur le revenu (provisoire - en attente du texte définitif)
Art. 5
Prorogation de l’abattement sur les plus-values réalisées par un dirigeant de PME partant à la retraite (Art. 150-0 D ter du CGI) jusqu’au 31 décembre 2024.
Pour mémoire, cet abattement fixe de 500 000 euros s’applique sous conditions aux plus-values réalisées par les dirigeants de PME qui cèdent leurs titres à l’occasion de leur départ en retraite.
Personnes morales,
Art. 4 quater :
Le régime de faveur des Jeunes Entreprises Innovantes (JEI) devrait être accordé jusqu’au onzième anniversaire de l’entreprise (huit actuellement). Ce régime permet de bénéficier d’une exonération totale puis partielle de l’impôt sur les sociétés pour les jeunes entreprises qui respectent certaines conditions tenant notamment à leur activité de recherche.
Art 6. Amortissement des fonds de commerce.
Afin de faciliter la reprise de fonds de commerce, l’article 6 prévoit la possibilité d’admettre en déduction l’amortissement du fonds de commerce à titre temporaire pour les fonds acquis entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2023.
Nouvelle convention fiscale bilatérale entre la France et la Belgique
Le 9 novembre 2021, Bruno Le Maire, ministre des Finances et son homologue belge Vincent Van Peteghem ont signé une nouvelle convention fiscale bilatérale entre la France et la Belgique.
Cette nouvelle convention dépoussière et remet en ligne avec les derniers standards internationaux, notamment les avancées du projet « BEPS » de l’OCDE, la convention actuellement en vigueur et datant du 10 mars 1964.
La nouvelle convention entrera en vigueur à l’issue du processus de ratification législatif classique qui nécessitera l’approbation du texte par les Parlements belge et français, sa ratification par l’exécutif.
Ce nouveau texte introduit en outre une nouvelle définition de la résidence ainsi que des dispositions afférentes aux plus-values immobilières. Le droit d’imposer des deux États serait préservé notamment en cas de participation substantielle.
Ces nouvelles dispositions auront potentiellement un impact sur les revenus imposables dans les deux pays et pourraient réserver quelques surprises.
Cela pourrait être le cas notamment pour les résidents belges propriétaires d’une résidence secondaire en France et dont ils ne perçoivent aucun revenu.
Alors que la convention actuelle attribue à la France un droit exclusif d’imposer les revenus fonciers provenant d’un bien situé en France, la nouvelle convention n’accordera une exonération en Belgique qu’en cas d’imposition effective en France. Or, la France n’impose que les revenus effectivement perçus. Donc aucune imposition pour les résidences secondaires non louées. À l’inverse de la Belgique qui impose un revenu fictif même dans le cas où l’immeuble n’est pas loué.


Le rôle de l’inflation sur notre allocation
Les perspectives macro-économiques sont positives avec notamment la baisse du chômage, les bons résultats des entreprises et un taux d’épargne des consommateurs important.
La forte consommation est à l’origine de chiffres de l’inflation élevés, en particulier aux États-Unis.
En parallèle, nous anticipons déjà le ralentissement de la croissance économique et le début d’une normalisation (très progressive) de la politique monétaire.
Les banques centrales considèrent toujours que la hausse de l’inflation sera temporaire, c’est pourquoi elles ne comptent pas augmenter les taux rapidement.
Ainsi nous apprécions les stratégies de portage car nous pensons que les taux resteront encore bas pour une longue période de temps – nous réduisons néanmoins la duration de nos portefeuilles et nous privilégions les obligations à haut rendement et celles des marchés émergents.
Nous anticipons des phases de volatilité sur les marchés financiers lorsque les banques centrales se réuniront pour revoir leurs anticipations et prendre de nouvelles décisions.
En décomposant les facteurs d’inflation, nous pouvons prendre plusieurs décisions d’investissement sur les portefeuilles actions :
- l’inflation sur les matières premières est en train de se normaliser : nous dégradons les actions sud-américaines et prenons des profits sur les marchés du Moyen-Orient ;
- les coûts de production/d’approvisionnement augmentent : nous sous-pondérons les acteurs industriels ;
- les salaires augmentent : nous renforçons les secteurs de la consommation discrétionnaire (loisirs, luxe, …).
Il ne faut pas non plus oublier le secteur financier ; en effet il bénéficie de la poursuite de la croissance et sert de protection contre une forte hausse de l’inflation.
Certains secteurs ne subissent d’ailleurs pas le ralentissement de la croissance économique, et les gouvernements investissent massivement dans certaines activités considérées comme prioritaires : en infrastructures, en projets qui participent à la transition énergétique et dans le domaine de la santé.
Ainsi, nous maintenons la surpondération Actions de nos portefeuilles car le cycle de croissance économique se poursuit.
L’impact du variant Omicron à court terme
L’apparition de ce nouveau variant et le durcissement des normes sanitaires de plusieurs pays entraînent une subite baisse des marchés. Le point essentiel à étudier est l’efficacité des vaccins et des traitements actuels contre ce variant.
L’ampleur de la baisse laisse supposer que les marchés financiers émettent des doutes et le président de Moderna a lui-même annoncé qu’il faudrait sûrement légèrement modifier le vaccin actuel pour le rendre plus efficace.
Nous pensons cependant que cette baisse est exacerbée par des prises de profits après la forte performance des marchés depuis le début de l’année.
Nous sommes attentifs aux données scientifiques sur ce nouveau variant et pourrions ajuster nos recommandations en conséquence ; actuellement nous préférons garder nos positions et nous projeter sur le moyen terme où les perspectives économiques sont bonnes.
Vues au 30 novembre 2021. Les données sont présentées à titre d’illustration seulement et peuvent être soumises à des modifications.
Source : Bloomberg

L’année 2021 marque une phase de rebond significatif de la croissance mondiale après une année 2020 plombée par la crise sanitaire. Cette reprise s’est accompagnée d’une hausse des bénéfices des entreprises, revenus sur ou au-dessus des niveaux antérieurs à la crise sanitaire, permettant de fait une poursuite de la progression des actifs risqués entamée mi-2020.
Comment les marchés financiers ont-ils évolué en 2021 ?
Si l’année n’est pas encore terminée, il ressort à fin novembre une hausse des principaux indices actions, hausse marquée par une disparité entre marchés développés et marchés émergents, avec des gains de +26,8% contre +3,5% en euro, respectivement. La reprise d’activité et la hausse des prix des matières premières ont entraîné une remontée de l’inflation et des taux d’intérêt, tirant les produits obligataires vers le bas. Les obligations d’États et d’entreprises internationales abandonnent près de 2% en euro depuis le 1er janvier.
Dans ce contexte la gamme de fonds diversifiés HSBC Select affiche des progressions s’étalant entre +0,1% pour le profil le plus défensif (HSBC Select Moderate), +14,8% pour le plus investi en actions (HSBC Select Equity), ou encore +6,5% pour le fonds HSBC Select Flexible. La gamme reste bien positionnée face à la concurrence, avec 3 fonds sur 5 dans le 2e quartile depuis leur lancement. Le fonds HSBC Select Equity se distingue particulièrement cette année avec une performance qui le classe dans le 1er quartile de son univers de comparaison Morningstar.
Comment votre gestion active s’est- elle traduite cette année dans les portefeuilles ?
Nous implémentons de multiples sources de performances dans la gestion des fonds HSBC Select, entre l’allocation d’actifs stratégique et tactique, la variété des classes d’actifs ou encore les choix de gestion géographiques, sectoriels et de styles. En termes d’allocation d’actifs, notre exposition actions a évolué entre 48% et 56% sur notre fonds HSBC Select Flexible, alternant renforcement et prises de bénéfices au gré de l’évolution de la situation sanitaire et de la performance des marchés financiers.
Les allocations géographique et sectorielle en actions ont été plus actives cette année pour essayer de compenser l’incertitude au plan sanitaire et son impact sur la croissance économique, notamment à partir du 2nd semestre. Nos investissements sur les actions européennes ont été renforcés très nettement en début d’année, passant de 36% de la poche actions à 53% afin de bénéficier du caractère plus cyclique de la zone et de son retard de valorisation, à travers les secteurs de l’automobile, de l’énergie ou des banques. Ce mouvement s’est opéré au détriment des actions américaines, abaissées à 17% de la poche actions, et des actions émergentes tombées à 10%, contre 30% et 25% respectivement au pic du 1er trimestre. Plus tard, au sortir de l’été, nous sommes revenus sur les actions américaines (17% ➜36%) face à l’Europe (53% ➜42 %) sur fond de correction sur les valeurs technologiques et de remontée des cas de contaminations sur le Vieux continent.
Sur le plan obligataire, nous sommes restés très prudents sur le risque lié à la remontée des taux d’intérêt en réduisant drastiquement la sensibilité globale du fonds HSBC Select Flexible, de 2,5 années à 1,2 année, soit une réduction de nos investissements obligataires de 45% à 25% environ.

Quels ont été les principaux éléments qui ont contribués à votre performance ?
Notre allocation d’actifs a été positive cette année, en particulier notre préférence pour les marchés actions par rapport aux obligations. Au sein de nos investissements actions, les marchés américains et européens se sont particulièrement bien comportés, grâce à notre biais sur les secteurs cycliques et décotés (industrie, énergie, banques, matériaux de base, automobile) qui ont profité du rebond de l’activité économique et des taux d’intérêt. En Europe, les petites capitalisations ont également fait bonne figure (HSBC Europe Small & Mid Caps +21%). Dans les émergents, notre réduction préventive en fin de 1er trimestre a permis de limiter la baisse après la sous-performance des actions chinoises, tandis que notre sélection pays a été bénéfique, à l’instar des actions russes et des marchés frontières. Enfin, au sein de la poche obligataire, les sources de gains ont été plus rares et se retrouvent dans nos investissements sur les obligations chinoises (+10,9% en euro) et les obligations à haut rendement de la zone euro (+0,8%).
Enfin, notre surexposition au dollar américain aura été bénéfique tout au long de l’année.
Côté négatif, on notera la sous-performance des valeurs et secteurs défensifs, certaines de nos thématiques, comme la transition écologie et l’investissement responsable, ou encore la dette émergente et nos stratégies dites alternatives et de performance absolue.
Quelles sont vos convictions pour les prochains mois concernant les marchés financiers ?
Nous sommes entrés depuis quelques mois dans une phase d’expansion plus modérée du cycle économique mondial qui fait suite à la phase de reprise forte de l’activité. Cette phase d’expansion se traduit par un rythme moins soutenu de la croissance économique qui reste néanmoins sur une phase ascendante et implique toujours, dans la hiérarchie des classes d’actifs, une préférence pour les actions par rapport aux obligations.
Nous restons ainsi toujours constructifs sur les actifs risqués, mais la progression des marchés actions, l’évolution de la crise sanitaire et la réduction des stimulus monétaire nous incitent à rester modérément prudents sur les actifs risqués, au moins à court terme.
Notre allocation géographique actions reste diversifiée avec une préférence pour l’Europe et les États-Unis, notamment sur les secteurs financiers et liés aux matières premières. Nous restons toujours attentifs à une amélioration des signaux en provenance de Chine pour revenir plus agressivement dans la zone émergente. Enfin, nous avons accru et diversifié nos investissements sur le e-commerce et sa logistique, ainsi que sur l’eau, sur l’ensemble de sa chaîne de valeur – de la production au traitement des eaux usées.
Dans la poche obligataire, nous maintenons une faible exposition aux obligations gouvernementales et privilégions les investissements en obligations d’entreprises, en particulier sur les signatures à haut rendement et la dette émergente. Sur cette classe d’actifs, nous avons réduit nos investissements ces derniers mois pour éviter toute contagion du secteur immobilier chinois dans l’univers émergent, mais nous restons attentifs aux niveaux de valorisation qui s’améliorent sensiblement.

Objectif de gestion
Essentiellement investi en parts ou actions d’OPC français ou européens, HSBC Select Flexible a pour objectif d’offrir, sur un horizon de placement minimum recommandé de 5 ans, une gestion diversifiée et active sur les marchés d’actions et de taux.
A titre indicatif, l’exposition sur les marchés d’actions se situe entre 20 % et 80 % de l’actif, le solde étant investi en obligations publiques et privées. Le FCP investit sur les marchés développés avec un biais euro et sur les marchés émergents dans un but de diversification.
Points clés
- Une exposition internationale, pays émergents compris, avec une prépondérance pour la zone euro
- Un fonds flexible avec de larges bornes d’intervention :
– OPC actions : de 20 % à 80 % de l’actif du FCP
– OPC de produits de taux et monétaires : jusqu’à 80 % de l’actif du FCP
– OPC diversifiés : jusqu’à 20 % de l’actif du FCP
- Une gestion de conviction, réactive dans ses choix d’allocation
- Une forte diversification des moteurs de performances (classes d’actifs, zones géographiques, devises,…)
Caractéristiques
Code ISIN : FR0007036926 (A)
Forme juridique : FCP de droit français Durée de placement recommandée : 5 ans Indicateur de comparaison : Aucun
Société de gestion : HSBC Asset Management Dépositaire : CACEIS Bank
Heure limite de souscriptions/rachats : 12.00 (CET)
Droits d’entrée / Droits de sortie maximum : 2,0 % / néant
Frais courants : 1,42 % - le montant des frais courants est fondé sur les frais de l’exercice précédent, clos en décembre 2020, et peut varier d’un exercice à l’autre.
Commission de performance : néant Date de lancement : 07.01.2009
Profil de risque
Les données historiques, telles que celles utilisées pour calculer l’indicateur synthétique, pourraient ne pas constituer une indication fiable du profil de risque futur de l’OPCM. La catégorie de risque associée à cet OPCVM n’est pas garantie et pourra évoluer dans le temps. La catégorie la plus faible ne signifie pas « sans risque ».
Le FCP est classé dans la catégorie 5. Cette classification correspond à une combinaison variable de l’exposition aux marchés d’actions et obligataires. Les risques de crédit et associés aux produits dérivés, non pris en compte dans l’indicateur, peuvent avoir également un impact sur la valeur liquidative de l’OPCVM.
L’indicateur de risque peut être affecté par le mécanisme de Swing Pricing avec seuil de déclenchement mis en place sur ce FCP (Cf. prospectus - mécanisme de Swing Pricing) dans la mesure où il est susceptible d’augmenter la volatilité de la valeur liquidative.
Source : HSBC Asset Management, Bloomberg – novembre 2021 AMFR_201_INT_CL_2021.
Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Les rendements futurs dépendront, entre autres, des conditions de marché, des compétences du gérant du fonds, du niveau de risque du fonds, des frais de gestion et des éventuels droits d’entrée/sortie. Le montant investi dans le fonds peut fluctuer à la hausse comme à la baisse en fonction des variations des cours des actifs et des devises. Il n’y a pas de garantie que l’intégralité du capital investi puisse être récupérée. Sauf mention contraire, l’inflation n’est pas prise en compte.

Les commentaires et analyses reflètent l’opinion de HSBC Asset Management sur les marchés et leur évolution, en fonction des informations connues à ce jour. Ils ne sauraient constituer un engagement de HSBC Asset Management. Par conséquent, HSBC Asset Management ne saurait être tenue responsable d’une décision d’investissement ou de désinvestissement prise sur la base de ce document et/ou analyse dans ce document.
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